Le village.

Nikoros se place devant les femmes et les enfants proche de lui ,potentielement cilbès par les créatures. Il agite ses deux torches dans des grands mouvement circulaires contre les démons volants pour les maintenir en respect.



-Il faut vous battre !


Hurlera t'il aux jeunes hommes  ,hommes  matures et anciens encore capables de combattre.

-Merde.


Nikoros donne les torches aux ''combattants'' encore valides, qui n'en possèdes pas , proche de lui pour mieux défendre leurs familles. Puis il dégaine son pistolet et tire dans une des créatures qui agresse Guenièvre. Que se soit la fille ou le bébé ou même les deux ils sont visiblement particuliers et donc précieux.

Olenii va chercher la torche la plus proche et se place entre la proie et les bêtes.

Les villageois se défendent tant bien que mal, quinze créatures sont a l'intérieur, il en arrive deux de plus par tour.
Nikoros en abat une, les défenseurs trois. Olènii parvient a proteger Guenièvre pour ce tour.

20 défenseurs restants, 13 créatures

Nikoros dégaine son épée en rangeant le pistolet. Il profite que la plupart des créatures s'amasse autour de Olénii qui les repousse avec la torche pour les trancher de sa lame dans leurs dos.



-Formez une ligne devant les femmes et les enfants !


Dira t'il aux villageois sachant que disperser ils seront plus difficiles a défendre.

Nikoros balayant les bête qui agresse Guenièvre avec son épée de grands mouvement circulaires et horizontaux diriger via les deux mains de l'aventurier pour plus de puissance.



-Ramène la femme et le bébé derrière la ligne des défenseurs vite !


Hurlera t'il a l'aventurière .

- C'est ce que j'essaye de faire ! Olénii prend ce qui lui reste de poudre d'argent et la babiole en argent qu'elle avait dans la main et les jettent dans la nuée ! Elle se précipite vers La femme et l'enfant et les emmène plus loin, derrière les défenseurs, là ou il y a beaucoup de babioles en argents !

-C'est fini pour elle, tu dois protéger le gosse a tout prix c'est lui qu'ils veulent !

Lui hurlera Nikoros avant de se retourner vers les créatures volantes et essayer d'en tuer de nouvelles sous les coups de sa lame.

-Bordel ... Olénii prend le bébé dans ces bras.

-Et ce bébé qui ne pleurs p... Oh. Olénii degaigne son épée et protège le bébé coûte que coûte. Elle le porte au creux de son bras, et sa main tiens un objet en argent. L'autre mains a l'épée !

Nikoros s'abaisse sur le corp de Guenièvre pour voir si elle respire encore. Sinon il regarde son pouls .



-Nous avons repoussé les créatures volantes et la plupart des terrestres sont mortes au début de la bataille mais c'est pas terminé.

"Répis" pas sur avec les villageois qui vont gueuler ... Olénii observe le bébé dans tout les angles...

- Il m'intrigue ce mioche ...

Nikoros dépose son épée sur le coter puis enveloppe la femme dans son propre manteau avant de la soulever pour l'amener devant les villageois.



-La femme respire encore l'un de vous serait capable de la sauver ? Il observe si aucune autre femme n'a était blessé pareil pour les enfants;

Olénii met le bébé au niveau de son visage, elle a un air blasée. Elle s'avance a son tour vers les villageois :

- C'est le bébé de Qui ? Genièvre ? Demande t-elle en montrant le bébé a tout le monde, bras tendu vers eux.

Guenièvre attrape la chemise de Nikoros, elle essaie de dire quelque chose. Sa langue arrachée ne facilite pas la compréhension.
" é ui, an a o é ... "
Puis son bras retombe, pendant le long du corps. Elle ne respire plus. Une vieille femme approche d'Olénii, regardant l'enfant.

"cette pauvre âme, le père de Guenièvre l'a trouvé abandonné dans la forêt il y a un an, la pauvre petite s'en occupait depuis.."

Nikoros la laisse au sol puis se retourne vers Olénii.



-Ils veulent le gosse je suis certain. Et ils le veulent vivant regarde le, couvert de sang mais pas une égratignure. L'enfant c'est la clé j'en suis certains désormais.

Olenii se rapproche aussi de la vieille femme :

- Et depuis quand avez vous ce problème de spectre rappelé moi ? Hum ?

Olenii regarde Niko avec un air de "Je sais déjà".